Louis Janover était membre du groupe surréaliste dans les années 1950. Il a publié, dans les années 1960, la revue Front noir dans laquelle il défend un point de vue critique sur le surréalisme en même temps que des positions proches du communisme des conseils. Il a collaboré à partir de 1968 aux Études de marxologie, dirigées par Maximilien Rubel, et à l’édition des Œuvres de Marx dans la bibliothèque de la Pléiade.
— Surréalisme et situationnistes. Au rendez-vous des avant-gardes, Sens & Tonka, 2013.
— La deuxième droite, Agone, 2013.
— Marx et les nouveaux phagocytes, ed. du Sandre, 2012.
— Thermidoriens, encore un effort..., ed. de la Nuit, 2010.
— S’il est encore minuit dans le siècle, ed. de la Nuit, 2009.
— Visite au musée des arts derniers, ed. de la Nuit, 2008.
— Maximilien Rubel, pour redécouvrir Marx, Sens & Tonka, 2008.
— La Démocratie comme science-fiction de la politique , Sulliver, 2007.
— Tombeau pour le repos des avant-gardes, Sulliver, 2003.
— Surréalisme ou le surréalisme introuvable, Sens & Tonka, 2003.
— Lautreamont et les chants magnétiques, Sulliver, 2002.
— Surréalisme de jadis a naguère, Paris-Méditerranée, 2002.
— La Tête contre le mur, Sulliver, 2000.
— Thermidor mon amour, Paris-Méditerranée, 2000.
— Cent ans de servitude, Sulliver, 1998.
— Voyage en feinte-dissidence, Paris-Méditerranée, 1998.
— Nuit et brouillard du révisionnisme, Paris-Méditerranée, 1996.
— Le Rêve et le plomb : Le Surréalisme de l’utopie à l’avant-garde, Jean-Michel Place, 1988.
— Surréalisme, art et politique, Galilée, 1980.
— Les Intellectuels face à l’histoire, Galilée, 1980.